JULIEN JOUSSE ET LE PAPILLON ROSE. Clic...
Le papillon au plus haut niveau !!!!
Julien fait parti des pilotes qui n’oublient jamais Julie.
En effet au plus haut niveau en karting et en automobile, il est très difficile
d’apposer un autocollant qui n’est pas prévu par contrat. Les budgets sont si élevés
et les négociations si difficiles que certains pilotes qui portaient les
couleurs de Julie depuis des années sont dans l’embarras, ce n’est pas le cas
de Julien Jousse .
Par exemple Jean-Eric Vergne, pilote Red Bull en FR 2.0 a demandé au célèbre sponsor qui a
refusé, il en est de même pour la Tony-kart. Cela ne change rien à
l’implication des ces pilotes, leurs messages de soutien sont suffisamment
fréquents et je sais !!!
La démarche effectuée par l’équipe de KSP auprès d’Intrepid,
ainsi que toutes celles effectuées par des centaines personnes relayant
l’action, font parti des solutions. Il faut présenter la fondation
Julie Tonelli pour l’enfance et expliquer pourquoi les pilotes tiennent à avoir
le papillon rose de Julie.
Et ceci c’est une question d’amour qui n’est pas donnée à tout le monde.
Dans notre cas, c’est exceptionnel et incroyable.
Merci Julien et tous les pilotes de ne pas oublier Julie.
Communiqué Julien Jousse,
pilote Tech 1 Racing
Grand Prix de Monaco, 24
& 25 mai 2008
5ème manche de la
Formula Renault 3.5 Series
Julien brille à domicile
Le jour de gloire n’est pas
arrivé, mais Julien Jousse aurait pu disputer la victoire à Monaco. Il s’en est
fallu d’un drapeau rouge et d’une ondée printanière tombée une heure et demi trop
tôt ! A deux pas de sa région d’origine, le Varois n’en a pas moins
produit une très belle course, conclue au pied du podium. Il a aussi marqué des
points importants qui lui permettent de revenir au 4ème rang du
championnat.
Le sort de la course s’est
joué lors des qualifications, comme le laisse entrevoir le classement final,
identique pour les quatre premières places à la composition de la grille de
départ. Les 26 voitures sont séparées en deux groupes compte tenu de
l’étroitesse des légendaires rues monégasques. La répartition se fait en
fonction du classement provisoire du championnat, et Julien se retrouve donc dans
le groupe A en vertu de sa 5ème place. La pluie se met à tomber vers
8 heures du matin, et au moment où le premier groupe entre en scène, la piste
est très détrempée. A l’inverse, les pilotes groupe B auront l’opportunité de
passer en pneus slicks pour signer des temps de dix secondes plus rapides que
leurs collègues du groupe A. Le meilleur temps absolu, et la pole position du
côté intérieur de la grille qui l’accompagne, ne peut donc échapper à l’un
d’entre eux.
Les conditions d’adhérence
évoluent sans cesse pendant la séance, mais Julien, très à l’aise, semble bien
parti pour s’approprier le meilleur chrono. A quelques minutes de la fin, il est
devant, puis le leader du championnat Giedo Van der Garde améliore. Mais le
Varois n’a pas dit son dernier mot. Il est parti pour un autre tour canon quand
Daniil Move percute le rail et provoque l’interruption de la séance au drapeau
rouge. Stoppé dans son élan, Julien espère une relance car il reste six
minutes. Mais celle-ci ne viendra pas et il reste sur son 2ème temps,
synonyme pour les raisons évoquées plus haut d’une place à l’extérieur de la
deuxième ligne de la grille. « C’est dommage, car l’auto était
performante, j’étais en confiance et je sentais vraiment le meilleur temps à ma
portée. »
Dimanche matin, la pluie
incite la direction de course à donner le départ lancé après deux tours
derrière le safety-car. Ceci interdit tout espoir de grappiller l’une ou
l’autre place au premier virage. Parti 4ème, le pilote Tech 1 Racing
rejoint l’arrivée à cette même position. Prudent dans les premiers tours en raison
de la visibilité réduite par les projections d’eau des voitures qui le
devancent, Julien hausse le rythme et revient au contact de Fairuz Fauzy, juste
avant la première neutralisation de la course. « La piste avait quelque
peu séché, elle était donc devenue piégeuse et je sentais qu’il était possible
de pousser Fauzy à la faute. Il en a fait plusieurs, mais je n’ai pas pu
trouver l’ouverture. Puis, le safety-car est revenu en piste, jusqu’au drapeau
rouge final, et toute chance de dépassement a disparu. Je finis 4ème
sans rien avoir à regretter, j’ai donné le maximum en qualification comme en
course. »
L’analyse du début de la
saison de Formula Renault 3.5 Series montre en tout cas que Julien s’est montré
très compétitif sur les trois circuits, aussi différents que prestigieux,
fréquentés depuis le début de la saison. Après Monza, Spa et Monaco, la World
Series by Renault fera étape à Silverstone, les 7 et 8 juin prochains.
Contact presse : Romain
Didier / future racing commm 02.47.55.67.79 futureracing@yahoo.fr