Le Graff Racing : le vent en poupe avec Laurent et Mathieu
Laurent Groppi : devant –devant et redevant. Rien à dire Laurent est le grand favori du championnat de France et d’Europe de Formule Renault.
Mathieu Arzéno : 3ème temps aux essais libres et chrono, 4ème à la 1ère course. puis une 2ème séance chrono ratée car il n’a pas eu un tour libre. A la 2ème course Mathieu part 14 et remonte 8 en doublant à Pau !!! IL termine 1er rookie ( 2ème meilleur tour en course à un millième sur le premier).
Nelson Panciaticci : Premier podium à la 2ème course et 8ème à la première. Nelson revient, souhaitons lui que son team fasse encore un petit effort pour le mettre au niveau des autres.
Nico Navarro : 1ère course 6ème chrono et une 5ème place.
2ème course 4ème chrono, mais Nicolas est tombé. La performance est là, les faits de course, vous savez ce que c’est !!!!
Jean-Karl Vernay : 1ère course pôle et une 2ème place à la course. 2ème course 5ème chrono et même chose que Nico Navarro.
-TROIS QUESTIONS A NELSON PANCIATICI AVANT LA COURSE DE PAU
Quel bilan tirez-vous des deux premières courses ?
Un cruel manque de réussite et quelques choix techniques inopportuns ont entraîné des courses anonymes et peu en rapport avec mes ambitions, le bilan est assez mitigé. Je reste tout de même confiant car à quelques occasions, j’ai pu montrer qu’il faudrait compter avec moi dés que tout va se mettre en place.
Techniquement et mentalement je suis prêt à me battre pour la victoire en monoplace.
A cause des conditions météorologiques particulières, ces deux premières courses ont donné des grilles de départ peu logiques et il faut plutôt regarder les essais libres sur le sec pour mieux comprendre le potentiel de chacun, le notre se situant dans les cinq premiers.
Votre position au championnat de France de Formula Renault 2.0 n’est pas très confortable, comment envisagez-vous la suite ?
Ce n’est pas tant la position au championnat qui me frustre mais plutôt l’absence de victoire.
Je ne me suis jamais considéré comme le favori du championnat de France de Formula Renault 2.0 mais plutôt comme un outsider capable de l’animer, l’équipe EPSILON Sport est encore « jeune » dans la discipline et ce n’est que ma deuxième année en monoplace. Cet objectif reste d’actualité et je sais qu’il est réalisable.
Comme tout le monde le pensait ce championnat reste très ouvert avec quatre vainqueurs différents et j’espère vraiment être le cinquième !
Cela dés la course de PAU ?
A PAU, il y aune atmosphère particulière et impressionnante, c’est le genre de circuit où il ne faut pas faire d’erreurs, avec des rails qui ne sont jamais très loin. Il faudra monter en puissance tour après tour pour «apprivoiser» les virages.
Aux essais les meilleurs temps se font en général dans les dernières minutes, il faudra donc être rusé pour s’aménager des tours clairs au bon moment en mettant une distance respectable avec le pilote qui vous précède et en se méfiant des pilotes qui lèvent exagérément le pied après « l’effort », tout en espérant ne pas se retrouver gêné par un pilote parti à la faute.
C’est un circuit atypique où, même s’il faut bien sûr être compétitif, la réussite prend une part non négligeable dans le résultat final et à ce jeu je pense avoir droit à ma part du « gâteau».
Notre voiture est en général à l’aise sur les circuits urbains et même si rien n’est jamais acquis en sport automobile, je suis confiant pour prendre part à la lutte pour la victoire.
-Carréra Cup: Le Team Larbre Compétition reprend des couleurs et Morgan Moullin-Traffort toujours en très grande forme malgré les petites mésaventures.
05/06/2006 : PORSCHE CARRERA CUP - PAU - RÉSULTATS
Arrivées prématurées en Porsche Carrera Cup
Première victoire de Makowiecki dans la nocturne de dimanche, reprise du pouvoir de Beltoise le lendemain. Les deux courses de Porsche Carrera Cup ont cependant eu pour point commun de ne pas aller à leur terme, suite à des incidents ayant provoqué un arrêt au drapeau rouge le premier jour, et une arrivée sous Safety Car le second.
Course 1 Dimanche 4 juin - 21h55 (en noctune) - Piste sèche - Prévue sur 22 tours,
mais réduite à 17 tours (arrêt au drapeau rouge suite à un incident).
C’est à Fred Makowiecki qu’est revenu l’honneur d’interrompre la série de « pole positions » d’Anthony Beltoise (6 d’affilée). « Nos essais du Val de Vienne nous ont permis de mieux comprendre la voiture », commentait le pilote Larbre Compétition, qui soufflait le meilleur temps au palois Mike Parisy 2 minutes avant la fin de la qualification. Beltoise n’était que 3e : « J’ai mal conduit, reconnaissait le leader de la Cup, j’ai bêtement gâché mes pneus pendant 6 ou 7 tours dans le trafic ». Départ peu avant 22 heures, sous un éclairage parfait. « Mako » et Parisy s’élancent bien, Beltoise reste scotché, ce dont Moullin-Traffort profite pour s’installer en 3e position. Ces quatre premiers vont faire le trou sur Dumez, qui n’arrive pas à chauffer ses pneus. Raymond Narac, parti dernier (lire plus loin La Gazette de Pau) amorce sa folle remontée, tandis que Didier Moureu, qui en est à son 18e Grand Prix de Pau, est déjà installé aux commandes du « B ». Au 7e tour, juste après la sortie d’Ancel au virage de la Gare, se produit un autre incident, qui va avoir des conséquences sur l’ensemble de la course. La voiture de Sylvain Nöel, alors 7e, se retrouve en fâcheuse posture au virage Foch, si bien que le Safety Car doit sortir un tour après (11e). Les positions sont les suivantes : 1- « Mako » ; 2- Parisy (1er Junior); 3- Moullin-Traffort (2e Junior) ; 4- Beltoise ; 5- Dumez ; 6- Toulemonde (3e Junior) ; 7- Tinseau ; 8- Moureu (1er B), etc. Narac est déjà 14e : il a gagné 12 places ! La neutralisation dure 3 tours, et au « restart », chacun y va prudemment. C’est juste après (16e tour) que Moullin-Traffort se fait piéger - « par une traînée d’huile », signale-il - dans l’épingle en descente du Buisson, permettant à Beltoise, auteur d’une course prudente, de s’installer en 3e position. 2 tours plus tard, c’est l’arrêt avant terme au drapeau rouge, suite à la sortie de Maurice Ricci, dont la voiture bloque la piste au Pont Oscar. Le classement officiel est celui relevé au tour précédant.
Course 2 Lundi 5 juin - 13h20 - Temps beau et chaud. Réduite à 13 tours. Attribution de la
moitié des points.
Cette course ne dura que 13 tours sur les 22 prévus, et il y eut forcément des frustrés. Beltoise, « poleman » et vainqueur, qui aurait évidemment préféré que la totalité des points fut attribuée. Makowiecki, son dauphin, qui avait sensiblement manqué son départ (en 1e ligne), mais avait redoublé Dumez à l’épingle du Lycée au 3e passage, et comptait sur la distance pour s’expliquer avec Anthony. Ou encore Moullin-Traffort, auteur d’un début de course époustouflant (5e sur la grille, 4e au 2e tour, 3e au suivant, qui voyait se profiler le podium lorsqu’il fut poussé par Dumez (11e tour) au freinage de Gare. Parti en toupie, « Moullin » se relançait 8e, mais la sortie du Safety Car deux tours plus tard ne lui laissait pas le temps d’essayer de refaire son retard, même en partie. « A la suite d’un incident survenu au Pont Oscar, nous avons roulé durant 6 tours derrière le SC, rapportait Mako, et lorsque le temps maximum de course a été atteint, nous avons reçu le drapeau à damiers. » Beltoise, « Mako » et Dumez franchissaient ainsi la ligne d’arrivée, mais Dumez perdait son podium, suite à une pénalité de 20’’ sanctionnant sa manoeuvre sur Moullin-Traffort. Henry Hassid remportait le classement « B » devant Rozentvaig et Bervillé, Raymond Narac (A), à nouveau remonté du diable vauvert, s’étant intercalé entre ces deux derniers. Didier Moureu ne pouvait rééditer sa victoire: il s’était fait pousser alors qu’il braquait au virage de la Gare, où Richard Balandras et Frédéric Dedours avaient également laissé leurs espoirs.
-Formule Campus: Les pilotes aux couleurs de Julei toujours devant.Clic .pdf...
1ère course
-1 -Charles Pic
-3 -Kévin Estre
2ème course :
-2 Kévin Estre
-3 Charles Pic
-5 Nelson Lukes
Automobile 
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